Le signe astrologique du mois : Sagittaire

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                                Le signe astrologique du mois: le sagittaire

3ème et dernier signe de feu, 3ème signe mutable, le feu brûle en vous et vous saisissez toutes les
opportunités!!
Grande optimiste, comme Jane Birkin, belle étrangère, vous savez nous faire rire aux éclats.

sagittaire la course à l'échalotte
Jean Cocteau a bien compris l’amplitude artistique de votre « homologue astral » Jean Marais.

sagittaire jean mais et cocteau

On vous reconnaît dans le Tarot de Marseille par la lame n° 3, l’Impératrice qui vous donne envie de
conquérir le monde. Vous êtes le pilier du pont qui relie les signes de feu aux signes d’eau. Le deuxième
pilier, au bout du pont est le Cancer…(Le pont s’appelle la transition Sagittaire/Cancer, l’Empereur lame
N° 4).

Si, en numérologie, le total de vos nombres de naissance (jour+ mois+ année) donne un 9, vous serez en
rapport avec la maison astrologique n° 9. Vous serez donc Sagittaire par votre Chemin de Vie, formant
l’axe central (l’essieu karmique) autour duquel tourne la roue de votre zodiaque.
« Ralliez-vous à mon panache blanc » vous crie Henri IV, et rapprochez vous du Cheval dans l’astrologie
chinoise car votre capacité d’ action est hors du commun!
Placées dans les chakras Swadisthana (dans le bas ventre, trois doigts au-dessous du nombril) et Anatha
(à la droite du coeur, dans l’axe du corps) Jupiter et Neptune affirment votre sensualité, votre liberté,
votre altruisme en société.
Le foie est un mot qui signifie richesse, puissance. Nous l’alourdissons de nourritures physiques ou
psychiques. Ne dit-on pas que nous nous « rongeons les foies » ou que « nous nous faisons de la bile » par
l’émotion, la colère, la peur ou la jalousie??
Dans l’antiquité, on lisait l’avenir dans le foie des animaux.
Poème de José-Maria de HEREDIA (1842-1905) Sagittaire.

SAGITTAIRE UN CENTAURE
Fuite des centaures
Ils fuient, ivres de meurtre et de rébellion,

Vers le mont escarpé qui garde leur retraite;

La peur les précipite, ils sentent la mort prête

Et fleurent dans la nuit une odeur de lion.

Ils franchissent, foulant l’hydre et le stellion,

Ravins, torrents, halliers, sans que rien ne les arrête;

Et déjà, sur le ciel, se dresse au loin la crête

de l’Ossa, de l’Olympe ou du noir Pélion.

Parfois, l’un des fuyards de la farouche harde

Se cabre brusquement, se retourne, regarde,

Et rejoint d’un seul bond le fraternel bétail;

Car il a vu la lune éblouissante et pleine

Allonger derrière eux, suprême épouvantail,

La gigantesque horreur de l’ombre Herculéenne.

 

This article was written by voyantissimeblog